André Baudry

1952 stiess ein neuer Mitarbeiter zum Team um Eugen Laubacher / Charles Welti. Es war der in Paris lebende ehemalige katholische Priester André Emile Baudry, der das Pseudonym André Romane verwendete. Ihn erwähnte Charles Welti in seinem Abschieds-Beitrag mit dem Titel "En guise d'adieu" im letzten Kreis-Heft¹:

"De France, un surprenant personnage vint rejoindre nos rangs: il signait André Romane et je l'ai surnommé dans mon article 'Sainte-Maxime, bilan d'une expérience'², 'le courageux apôtre de notre cause'! André Romane a donné au Cercle un grand nombre d'articles religieux et philosophiques, puis il a abandonné sa collaboration en janvier 1954 à la suite de la fondation de sa propre revue: Arcadie. Ce journal, courageusement publié sous son propre nom, a fait beaucoup de bien à la cause de l'homophilie en France, et je suis content qu'André Baudry / André Romane ait déclaré en certains occasions que ses premiers pas furent guidés par le Cercle."

Die Bezeichnung "homophilie" wählte Charles bewusst, weil es André Baudry war, der diesen Begriff von Anfang an konsequent verwendete.

Ins selbe letzte Kreis-Heft schrieb André Baudry³:

"[...] que celui qui a fait et continue Arcadie, n'oubliera pas l'aîné Der Kreis auprès de qui il y a 15 ans il trouva ses lois et ses formules pour vivre et pour créer ce mouvement français. [...] d'autres, à travers le monde, continueront à défendre les homophiles et l'homophilie, dans le sillage prestigieux creusé avec combien de peines par notre très cher Der Kreis."

Bereits im April 1953 wies André Romane auf seine Neugründung hin, der er den Namen "Le Cercle de France" gab und die er als eine Art französische Parallele zum KREIS sah⁴. Nach diesen Ausführungen geschah die Gründung bereits sechs Monate zuvor, also im November 1952:

"Nos amis de France qui secrètement depuis longtemps désiraient la formation d'un groupe amical semblable à celui de Suisse ne se comptaient plus. La France que trop volontiers l'on présente comme la championne de toutes les libertés et à l'avant-garde de toutes les libérations humaines était à ce point singulièrement en retard. [...]

Il fallait tenter quelque chose [...] et leur dire: 'Vous n'êtes pas seuls, vous avez et vous êtes une famille spirituelle, venez'. [...] Les réponses furent nombreuses. Nous avons voulu en France un Groupe. Il existe maintenant. [...] Des réunions mensuelles depuis six mois groupent des Amis, heureux de bavarder ensemble, [...] de se créer des relations sûres. [...] Que sommes-nous à côté des vingt ans de notre Maison-Mère de Zurich, peu de choses, mais nos efforts, nos espoirs voudraient réaliser plus et mieux. [...]"